Séminaire 2006

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L'OFFICE UNIVERSITAIRE DE RECHERCHE SOCIALISTE

Séminaire 2006

Séminaire « Socialisme » 6e année : Le Milieu socialiste CHS du XXe Siècle Paris 1 - L’OURS - CHEVS Nous reprenons avec un peu de retard notre séminaire socialisme. Il est consacré cette année au Milieu socialiste. Notre première séance se tiendra donc le Jeudi 19 janvier 2006 de 17 h à 19 h au siège de l’OURS : Le Parti socialiste, pivot ou balise de la gauche ? AVEC ALAIN BERGOUNIOUX ET GERARD GRUNBERG autour de leur livre L’Ambition et le remords, Les socialistes et le pouvoir 1905-2005 (Fayard, 2005).
Jeudi février 2006, L’entreprise socialiste, avec VINCENT CHAMBARLHAC ET THIERRY HOHL Séance autour de leur Histoire documentaire du parti socialiste 1905 à 2005 en 4 volumes (réalisée avec Maxime Dury et Jérôme Malois : les deux premiers tomes sont parus sous les titres, L’Entreprise socialiste, Tome 1, 1905-1920, Sources et la Maison Socialiste, Tome 2, 1921-1940, aux Éditions Universitaire de Dijon 2005)
Lire l'exposé introductif à ce débat
Jeudi 23 mars 2006 : Les socialistes sur le terrain électoral avec AUDE CHAMOUARD, doctorante IEP, sur le socialisme municipal dans l’entre-deux-guerres, et MICHEL ROSIER, journaliste, spécialiste de la vie politique dans la Sarthe.
*Jeudi 4 mai 2006, Des partis dans le parti ? L’exemple de deux courants de gauche”* avec Éric Nadaud, Historien, auteur du thèse sur la Bataille socialiste, et Benoît Verrier, politiste, qui a soutenu sa thèse sur le CERES.
Depuis l’unité de 1905, l’histoire des socialistes est riche des polémiques et affrontements entre des courants de pensées, dont la place et le rôle reconnu ou non par les statuts (liés au mode de désignation de la direction du Parti à la proportionnelle ou à la majorité) a évolué en 100 ans. Ces courants, groupes, tendances, sensibilités, clans, écuries… – le vocabulaire, d’hier à aujourd’hui, a son importance – ont pris diverses formes : regroupements autour d’un homme, contre un autre courant incarnant d’autres options (pacifisme, participation ministérielle, alliances à gauche ou au centre, internationalisme… ) , allant du combat interne à la scission, parfois. Comment faire vivre la diversité dans une organisation démocratique où le débat est libre mais où la discipline majoritaire cherche aussi à se faire respecter ? Faire vivre des tendances est-ce une preuve de vitalité démocratique ou d’incohérence idéologique ? Pourquoi se revendiquer d’un courant dans un parti ? Est-ce l’affirmation plus forte d’une identité, la manifestation de la libre confrontation des idées ? Nous aborderons ces différentes questions avec Éric Nadaud, historien, auteur d’une thèse d’histoire sur la Bataille socialiste, et Benoît Verrier, chercheur à l’université Maurice Schuman (Strasbourg 3), auteur d’une thèse pour le doctorat de science politique sur le courant de Jean-Pierre Chevènement (« Loyauté militante et fragmentation des partis. Du CERES au PDC »), sous la direction de Brigitte Gaïti.
*Jeudi 18 mai : “La FGDS, l’échec d’une alternative à la forme parti ?”*
Jeudi 1er juin : La gauche “plurielle” : les alliances sous contraintes de la situation (Séance annulée) Jeudi 29 juin : Autour de la “professionnalisation” du Parti : élus et militants (Carole Bachelot, Thierry Barboni, Rémi Lefebvre) Pouvez-vous confirmer votre présence en téléphonant à l’OURS : 01 45 55 08 60. Bien cordialement à vous. Frédéric Cépède, Michel Dreyfus, Gilles Morin, Nicolas Roussellier (La suite des informations sur notre site internet : http://www.lours.org)
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